Chroniques de l'enfance d'un jeune troll

Ils m’ont tout pris …Ma famille, mes amis, mes possessions et même le territoire de ma famille …Laissez-moi vous conter mon histoire …
Je suis le quatrième fils de Drok’Jin, le chef d’une faction dissidente des Brûleronce, une tribu trolle des forêts alliée à Rend Main-Noire. Mon père était l’un des plus grands lanceurs de haches et chefs de clan …Même Zul’Jin le respectait !Ma mère, elle, était une fervente prêtresse des Loas, nos dieux. Tous deux s’illustrèrent lors de la Seconde Guerre mais, lorsque les orcs furent vaincus, parqués comme des porcs, et que Zul’Jin ordonna de laisser la Horde seule dans les camps d’internement, mon père refusa de laisser ceux qui avaient étés ses alliés mourir comme des bêtes. Il était doué d’un sens peu commun chez mon peuple :l’honneur. Zul’Jin, malgré le respect qu’il accordait à mon père, ne pouvait laisser passer un tel affront.
Sa vengeance plongea sur nous par une nuit sans lune. Aussi silencieuse qu’une ombre et aussi noire que la nuit …C’était des assassins d’élite qui arrivaient sans cesse. Mon père n’eut que le temps de saisir sa fidèle Günstricht, sa hache de bataille, avant d’être attaqué par les tueurs. Ma mère me saisit, moi qui n’était encore qu’un enfant qui ne comprenait pas ce qu’il se passait, et me projeta dans la frêle embarcation qui permettait à mon père d’aller nous pêcher du poisson de l’étang proche. En passant, je vis les corps exsangues et sans vie de mes frères, leurs regards vides. Les assassins les avaient tués avant nous. Je ne savais pas pourquoi ils nous avaient réveillés, provoquant ainsi un terrible affrontement avec l’un des meilleurs combattants de tous les clans trolls. Lorsque la fourrure qui servait de porte se referma, je vis mon père, le corps couturé de blessures profondes, les défenses éclaboussées d’hémoglobine et sa hache luisante sous la lumière de la torche, se placer devant l’ouverture. Ma mère grimpa agilement dans la barque et se mit à ramer. Je ne devais plus jamais revoir mon père …
Le temps passa, ma mère naviguant la nuit, arrêtant la barque et cherchant à manger de l’aube à midi et dormant avec moi le reste du temps. Elle ne semblait pas hésiter, suivant toujours le même fleuve. Alors que nous arrivions à l’embouchure de celui-ci, nous eûmes une terrible surprise. Une immense frégate se trouvait devant l’estuaire. Ma génitrice, voyant cela, sembla plonger dans une profonde transe. Elle tendit les bras, des mots étranges aux intonations mystérieuses qui me glaçaient le sang jaillissant de ses lèvres. La barque s’ébranla et se mit à fendre les flots à une vitesse inimaginable, passa à côté de la frégate et se jeta dans la mer comme un torrent en furie. Me tournant vers ma mère pour exprimer mon étonnement, je vis une flèche elfique, reconnaissable à son empennage noir, planté dans le cœur de celle qui m’avait protégée pendant tant d’années.
Au bout de quelques jours, je perdis connaissance, affaibli par la faim, la soif et par le choc émotionnel. Lorsque je repris conscience, j’était chez un vieux troll d’une couleur que je n’avais jamais vu chez un membre de ma race :il était bleu et non pas du beau vert sombre des trolls des forêts !Quand il me vit , il s’approcha de moi et me parla :il s’appelait Zulcarac et c’était un troll des jungles, une race proche de la mienne, me dit-il. L’existence de son peuple était connue uniquement de quelques autres trolls de ma race d’après lui. Il m’avait recueilli sur la plage, plus faible qu’un nouveau-né, et m’avait soigné. Son chef, un certain Sen’Jin, avait accepté, sur les demandes incessantes de mon sauveur, que son clan, le clan Darkspear, m’adopte. Zulcarac me proposa, après m’avoir longuement examiné, de m’initier aux Arts. Il me dit qu’il me sentait une certaine prédisposition à ceux-ci. Voyant que je ne connaissais pas la signification de ce mot, il me l’expliqua. Les Arts étaient le mot qu’il utilisait pour désigner la magie, l’extraction de l’énergie contenue dans le sol de notre monde. .J’acceptai après mûre réflexion. Comme tant d’autres trolls, j’avais toujours désiré devenir un lanceur de haches mais je me savais trop faible pour le devenir ;cette proposition était peut-être un signe des Loas. Cette décision précéda les longues années d’étude qui suivirent, de longues années pendant lesquelles je dus faire mes preuves aux autres membres des Darkspears et m’entraîner à canaliser les énergies magiques suivant des méthodes écrites dans de vieux grimoires dont la couverture violette indiquait à mon maître qu’ils provenaient de Dalaran. Ces années comptèrent pour moi comme les plus heureuses de ma vie.
Malheureusement, le bonheur ne peut pas durer éternellement. Un jour où Maître Zulcarac était parti soigner un blessé, je ne le vis pas revenir. M’inquiétant, je courus jusqu’à l’endroit où je sentais ses pouvoirs magiques et je le vis Les combattre. Eux, les ennemis de mon peuple, eux qui avaient combattu aux côtés des Hauts-Elfes de Quel’Thalas, eux les Humains dont l’hideuse peau pâle luisait sous leur lourde armure étincelante. Une vague de haine déferla en moi. Je prononça une incantation aux mots durs et rythmés, tendit mon poing vers eux et l’ouvrit. Un trait de feu jaillit de ma paume et les carbonisa. Jamais je n’avais encore lancé un sort d’une telle puissance !Encore sous le choc de la vue de ce que j’avais produit, je sauta agilement de l’arbre où je m’étais embusqué et courus voir mon maître qui venait de glisser à terre. Je n’eus besoin que de quelques instants pour constater qu’il était mort. Mes mains, trempés par les larmes qui jaillissaient sans discontinuer de mes yeux, s’ouvrirent et libérèrent un torrent de feu qui brûla son corps, comme l’exigeait la coutume de son peuple, son peuple qui, grâce à lui, était devenu le mien. Je repartis prévenir Sen’Jin comme un mort-vivant, l’esprit embrumé par la souffrance. Tous ceux qui m’avaient aidé, aimé ou protégé jusqu’à maintenant étaient morts ;était-ce moi qui avait causé leur mort ?Alors que j’arrivais je vis une horde d’Orcs se diriger vers l’endroit près duquel était mort mon maître. Intrigué, je les suivis.
« Cela être un beau spectacle, n’est-ce pas ?dit la voix tranquille de Sen’Jin à côté de moi. Toi être triste ?Où être Zulcarac ?Il être d’une précieuse aide contre les Humains ! »
Ne retenant pas mes larmes, je lui racontais ce qui s’était passé.
« Maudits soient ces Humains !cria Sen’Jin. Eux camper tout près mais les Orcs se être alliés à nous. Qu’ils tuent les Peaux Pâles ! »
Sen’Jin sauta de sa branche et courut en criant et en agitant son bâton vers le campement humain. Décontenancé par son attitude, je le vis se jeter dans la mêlée. Alors que les Orcs et Sen’Jin étaient en train de détruire le campement humain, je vis des Murlocs se glisser silencieusement hors des eaux. Ils progressaient avec détermination, chose peu commune chez ces hommes-grenouilles. L’un d’eux me vit, poussa un gargouillis incompréhensible et me jeta un filet. Avant d’avoir compris quoi que ce soit, j’étais tombé dans un buisson touffu. Je vis mon agresseur rôder aux environs, me cherchant. Ne me trouvant pas, il s’éloigna et je pus voir ce qu’il se passait. Les Orcs, Sen’Jin et un groupe de trolls qui avaient dû être capturés dans la jungle étaient pris dans des filets semblables en tous points au mien. Les Murlocs soulevèrent ces ballots et disparurent dans l’eau. Voyant cela, je me débattis de toutes mes forces. La substance dont était fait le filet s’étira et se déchira. En me relevant, je vis le dernier Murloc de la file actionner un levier. Un lourd rocher tomba devant l’entrée de la grotte où étaient pénétrés ses congénères. J’eus beau m’épuiser à lancer des sorts, je ne pus rien faire ;l’entrée était toujours bouchée. Me résignant à cette idée, je repartis le cœur lourd vers le village des Darkspears. Les Orcs et Sen’Jin, ainsi que ses trolls, devraient se sortir seuls de la grotte.
Après plusieurs heures de marche dans la jungle, je vis enfin mon village apparaître. Alors que je m’apprêtais à raconter ce qui s’était passé aux rares trolls restants dans le village, un grondement assourdissant retentit et la terre se mit à trembler derrière moi. Me retournant, je vis le sommet de la montagne sacrée des trolls des jungles exploser en un nuage de fumée. D’immenses blocs de roches incandescents chutèrent vers le village à une vitesse impressionnante tandis que la montagne elle-même s’embrasait. Du feu liquide jaillit de celle-ci, consumant tout sur son passage, et les blocs de roches, en s’écrasant, détruirent en grande partie notre village et le campement orc non loin. Sur ce arrivèrent une longue file d’orcs et de trolls commandée par un géant orc à l’armure noire et cuivrée, au marteau de guerre titanesque, ses longs cheveux noirs battant son armure qui faisait ressortir ses yeux d’un bleu profond. Une aura de puissance et de commandement irradiait de sa personne. Il chevauchait une gigantesque louve dont le poil blanc étincelait sous la lueur dansante des flammes. Je m’approchai de la cohorte et demanda où se trouvait Sen’Jin.
« Je regrette, jeune troll. Sen’Jin est mort, tué par un roi murloc. »
Le regard de l’orc sembla se remplir de larmes, ce qui était impossible pour ceux de sa race, du moins le croyais-je.
« Nous devons nous préparer à une attaque imminente des Murlocs et de leur maîtresse, poursuivit-il. Je m’appelle Thrall. Gornïk !Renforce les défenses du campement avec tes cinq meilleurs ouvriers !cria-t-il à un péon. Nazgrel !Prend les grunts et tes chevaucheurs de loups pour établir une patrouille ! »
Un chevaucheur de loups acquiesca.
« Grimgard !Prend tous les autres péons et prépare les bateaux au voyage !Il faut se préparer à fuir !Les esprits me disent que cette île va bientôt exploser !Jeune troll !me cria-t-il en se retournant. Rassemble tous tes frères et venez ici ! »
Il lança sa louve au galop et partit rejoindre le dénommé Nazgrel. Obéissant à ses ordres, je courut dans la jungle à la recherche des autres trolls. Un détail me frappa dans les paroles que Thrall avait prononcé. Il m’avait dit d’aller chercher mes « frères » !Je regardai vivement mon corps. Il avait perdu son ancienne couleur verte pour devenir bleu !Le dernier détail qui me séparai de mon clan d’adoption venait de disparaître. Je repartis, le cœur léger malgré le danger environnant.
Alors que je venais de secourir le dernier troll, une impressionnante armée me barra la route. C’étai des centaines, des milliers de murlocs, assistés de dizaine de golems !Une femme aux cheveux relevés en une couronne les commandait. Sa puissance magique frappa mon esprit comme une tempête. J’avais le sentiment que ma tête allait exploser !Soudain, je ne sentis plus l’intolérable pression sur mon crâne. Levant les yeux, je vis le chef orc, Thrall, un éclair jaillissant de son marteau pour frapper la femme. Celle-ci poussa un hurlement suraiguë avant de disparaître.
«Vite, jeune troll !Les bateaux vont bientôt partir !Vite ! »
Il fendit les rangs des hommes-grenouilles passablement désorganisés par la perte de leur commandant, me saisit et fit donner à sa louve sa pleine puissance. Celle-ci bondit de rochers en rochers et fonça dans le campement avant de grimper sur le bateau.
« Laaaaaaaaaaaaarguez les amarres !»cria Thrall.
Les impressionnants vaisseaux qui, jusqu’à maintenant, étaient alignés dans une crique se mirent à se déplacer de plus en plus vite, se dirigeant vers une terrible tempête, le Maëlstrom.
Les mois qui suivirent furent extrêmement pénibles. Même nos deux races, pourtant habituées à une existence rude, souffrirent de la faim, de la soif et du froid causé par la tempête. Je ne parlerai pas de ces mois car ils sont inintéressant.
Après ces quelques mois, nous arrivâmes à une terre âpre et hostile; Kalimdor était son nom me dit Thrall. C’était dans le but de l’atteindre que les Orcs avaient fait un long voyage depuis les réserves de Lordaeron. Nos bateaux ayant étés dispersés par la tempête, Thrall me chargea d’une importante mission: retrouver le maximum de troupes. Comme à l’habitude que j’avais prise durant les longs mois de la traversée, je lui obéis sans discuter. Je fus rapidement à la tête d’un groupe d’une centaine de guerriers orcs et trolls confondus. Alors que je recherchais Thrall (il ne m’avait donné aucune information sur sa position), je vis, étendu sur le sol de la morte plaine environnante, un Haut-Elfe .La haine envers cette race, caractéristique de mon peuple, m’envahit. Pourtant, je ne bondis pas sur lui pour le tuer .Il me paraissait aussi inoffensif qu’un lièvre .Alors que je m’approchai de lui pour l’examiner, il releva sa tête et des paroles étranges jaillirent de ses lèvres exsangues.
« Fuyez… Ou tuez-moi… Je suis… contaminé … »
Je vis alors une sorte de… « fumée » s’échapper de son corps .Celle-ci se condensa pour former l’image d’une elfe à la peau gris e et transparente. Elle ouvrit les yeux, me vit, poussa un hurlement suraiguë et se jeta sur moi. Me préparant au choc, je leva mes bras mais elle pénétra dans mon corps! Je sentis alors une pression semblable à celle qu’avait déployée la reine des murlocs… Mais cette fois, Thrall n’était pas là pour me sauver… Luttant de toutes mes forces pour ne pas être envahi par cette puissance que je sentais impie et maléfique, je vis mon univers s’obscurcir avant que je perde connaissance… Dans mon inconscience, j’entendis une voix haineuse me crier :
« Obéis moi et je satisferai tes rêves de pouvoir les plus fous! Obéis moi , chétive créature, et tu deviendra IMMORTEL!
- Non, m’entendis-je murmurer. Jamais… je ne t’obéirai… Jamais !
- Dans ce cas, je vais devoir utiliser la force ! »
La pression devint si puissante que je perdis tout à fait connaissance.
Lorsque je me réveillai, je sentis que quelque chose avait changé en moi. La présence impie n’était plus là ! Me levant d’un bond, je vis mes vêtements posés sur une chaise. Je finissais de me vêtir quand un orc apparut.
« Ah, t’es réveillé! Pas trop tôt ! Mais bon, en même temps, t’as été possédé par une banshee, alors … »
Lui demandant ce qui s’était passé, il m’expliqua .
« La fumée que t’as vue, c’était une banshee, une mort-vivante. Heureusement que il y avait un chaman avec toi, sinon elle se serait emparé de ton corps et de ton esprit . Malheureusement, elle t’a quand même fait de gros dégâts : tu as dormi pendant quatre ans! Thrall m’a demandé de te résumer rapidement ce qui s’est passé pendant ce temps: on a combattu les démons avec l’aide de certains Humains, des Taurens, des hommes-taureau qui ont rejoint la Horde, et des Elfes de la nuit, des elfes à la peau violette vivant dans les bois et vénérant la lune, sauvé le monde du plus puissant des démons, Archimonde, qui voulait le détruire, et établi une trêve avec les humains qui nous ont aidés. On avait fait de même avec les elfes mais ils l’ont rompue. De plus, les membres de ta race et leur nouveau chef, Vol’Jin, ont juré d’obéir à Thrall qui leur a fourni le droit d’aller où ils veulent dans notre territoire. Voila l’essentiel.
-Que puis-je faire pour aider la Horde ?
-Eh ben, pendant que j’y pense, les Orcs et Trolls de la ville auraient besoin de ton aide. Tiens, prends ça .C’est un sac contenant des provisions, une carte, regarde nous sommes ici, et une lettre d’introduction pour le maître mage de la ville . »
Je le remercia, prit ses présents, le salua et sortit .
Je pars désormais vers la Vallée des Epreuves, le lieu où je suis revenu au monde après quatre longues annnées de sommeil !

Bon, je félicite que les derniers en date, sinon on a pas fini ! Félicitations, un récit captivant du début à la fin (la Horde, un vivier de futurs prix Ghonkhourt ?)

Terl est avec toi frère Troll, Terl aussi a navigué sur ces maudits rafiots et avoir détesté et bravo pour avoir survie à une Banshee, horible bestiole que celle-là.

(Trés belle histoire, bravo!)

(merci pour les félicitations ^^ En fait, ce n'est qu'une partie de l'histoire complete de Zalakar mais le reste est tenu secret de la plupart des personnes)

(Pourquoi donc? Secret défense?)

(non =P Juste que le reste de l'histoire ne serait pas DU TOUT apprécié par l'Etoile si elle le lisait (disons que Zalakar cache bien des choses))

[HRP : Ces ajouts doivent être lu après mon post sur La folie]

La silhouette ouvre la bouche et raconte d'une voix monocorde :

Bien des mois plus tard, alors que j'errais dans les contrées arides de Silithius, je vis une immense cité antique qui me sembla surgir de sous les sables brûlants !
Depuis que j'étais entré dans cette région, je sentais un étrange appel qui s'était intensifié pendant que je m'approchait de cette cité . C'était une ville faite de basalte granitique d'où surgissait, ici et là, de hautes obélisques . L'unique porte qui m'aurait permis d'entrer en cet endroit était scellée par une lourde dalle de pierre dans laquelle de gigantesques racines s'incrustaient. Je distinguai du coin de l'oeil un gong titanesque quand une vague d'énergie mentale me submergea !

L'appel qui, au fur et à mesure de ma progression, s'était intensifié avait brisé les protections mentales que j'avais érigé. Je me sentis tomber au sol et le goût du sable me rentra dans la bouche. J'étais dominé par une entité qui, de toute évidence, était des centaines, des milliers de fois plus puissante que tout ce que je connaissais ... Elle me transmit son histoire et me révéla un nom ... Le sien ... Le nom de C'Thun ! Pour s'assurer que je le servirai avec assez d'efficacité, elle me transmit aussi une broche étrange en forme de scarabée contenant une infime partie de son immense pouvoir .

Enfin, cette entité, mon nouveau dieu, me laissa là, seul dans le sable. Cependant je n'étais pas tout à fait seul ... Je sentai Sa Présence dans mon esprit ...
Désormais, j'obéissais à ce nouveau dieu... Je savais que c'était lui qui m'avait sauvé de la banshee... Et qu'il était prêt à la libérer si je le trahissais...
Enfin, c'était ce que l'Être enfermé dans la Broche disait...
En réalité, moi, Zalakar, depuis que j'avais reçu cette broche, n'était plus qu'une marionette entre les fils d'un Être immonde qui voulait que je libère ses Maîtres... Cet être se nommait Neraxx... Le Qiraj Neraxx !
Cependant, au fil des mois, je me mit peu à peu à lutter...
Ma plus garnde victoire fut mon alliance avec la banshee qui vous raconte cette histoire...
Depuis quelques temps, elle s'était libéré de l'emprise du Roi-Liche...
Grâce à elle, je me mis à pouvoir agir librement...
Cependant, le Qiraj Neraxx n'était pas d'accord...
Il a contacté C'Thun et celui-ci et ses frères me cherchent maintenant... Ils veulent me réenfermer... Mais je ne me laisserai pas faire !
Seul, je n'y arriverai pas... Mais si vous acceptez de m'aider, ALORS je serai enfin libre... Et je m'assurerai que ces êtres ne s'échapperont plus !